La Terre N'est Pas Mon Chez Moi

Freeman

L'infini pouvoir qui est en moi en dehors du temps de l'espace 
N'a pas d'âge mais un nom, l'éternel, l'esprit autogénérateur 
La conscience inconditionnée, l'orateur que je suis, celui qui est 
Tel est pris qui croyait prendre, va te faire pendre 
Il m'a suffit de songer que c'est mon esprit qui fait réagir le pouvoir infini 
C'est là que j'ai pris conscience que l'homme ne peut changer le soi-même 
De même que l'on récolte ce qu'on sème mon appel reçut une réponse 
Tout comme une graine donne un fruit de sa propre espèce 
Les pensées du dragon se reflètent dans mes textes 
Obéissant à des rêves qu'on ne peut discerner 
Douze ans d'effort, des expériences passées 
Ma vision des choses a changé sur le monde 
Assis sur mon fauteuil visage crispé expressif 
Je transmet dans mon âme les consonnes les syllabes 
Se travaillent tel les mats chez les Arabes 
Le mic a remplacé le sabre dans nos batailles 
Chaque renards portent sa queue à sa manière et ça dérange 
Langue de vipère, Lucifer est bien sur Terre, dirigeant le monde à sa manière 
De mon côté avec la faute à haissa je continue le combat 
Pour celui qui est mon roi, en adoptant un profil bas 
Telle est ma destinée et sera dans ce monde qui me perdra 
Car la Terre n'est pas mon chez moi 

Poète, maître des lettres, guide mes versets 
Le coeur pur, le Côté Obscur guide mes pensées 
Aussi sûr que le Soleil se lève le matin 
Je sais que ce chemin est le mien 
Je suis loin d'être un saint mais j'essaye 
Natif à Marseille, l'esprit de la graine s'éveille 
Sorti de mon sommeil, les rêves ont disparu 
Comme un ange montant au ciel revenu sous forme de lettre 
Qui s'abat sur vous à travers mes textes comme la grêle 
Créant un arc de ciel autour de moi, les saints un goût amer 
Ma quête a débuté, que l'aveugle regarde, que le sourd écoute, que le muet parle 
Que ces phrases brûlent les mécréants comme la foudre de Bahal 
Que je sois protégé comme on protège le Graal 

Pour chaque drame je ne peux m'empêcher de verser des larmes 
Le Freeman surgit de mon subconscient, le charme s'effectue 
Avec un esprit conscient, l'inconscient me joue des tours 
Son passé est lourd, pourtant il court toujours, courre 
A la poursuite du poète saint, saint armé d'un choure 
Il ne faut jamais se fier aux apparences 
L'habit ne fait pas le moine, et le moine ne crée pas la science 
C'est juste la croyance, le doute est la clef de toute connaissance 
Qui est dans la paroles et dans le silence 
L'essence de l'être humain n'est pas de vivre avec la chance 
Car l'intelligence est dans l'esprit profond défiant les sciences 
Mes sens s'envolent en direction de l'Est 
L'essence de la semance, graine céleste 
Que les pouvoirs se manifestent 
Les visions s'obscurcissent en cette fin de siècle
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