Dors, Et surtout là-haut réveille-toi Vole, Dis-toi que d'ici nous, on te voit, Cette image que tu as laissée N'est pas celle d'un homme qui n'guérit pas L'histoire ne fait que commencer Pour toi, on continue le combat Mmmmm... Non, On n's'enfermera pas dans le noir Fort, Tu l'as été donc on te le doit Honte à ceux qui n'ont pas cessé De te nuire et salir les espoirs Jamais les bras tu n'as baissés, On t'entend nous murmurer tout bas "Ca va, j'vous jure, je me sens bien" Sous l'amour que tu as semé Poussent «les fleurs de l'éternité», Les hommes s'en vont et viennent Sans vraies raisons mais toi, Tu n'es pas venu pour rien Passant ton temps à chérir les autres, Aujourd'hui tu es Toujours parmi nous Chose promise, chose dure, J'te l'avais dit un jour, "Je t'écrirai un truc" Mais tu nous as pris de court, On est tous sur l'cul depuis le trente, Avec un peu d'retard [Más Letras en http://es.mp3lyrics.org/ZySF] Maintenant je le chante, Je t'aime poto, J'te l'ai d'jà dit par texto, Une star qu'à demi Car t'as gardé le cœur chaud Claro, Karine t'envoie un «Te Quiero» Et ton public me somme de te dire encore bravo, Distributeur de bonheur, Je ne retiens de toi que le sacré déconneur, gros, Les meilleurs partent trop tôt, De ton rire se propage un éternel écho, C'est la sécheresse dans les yeux de ceux qui t'aiment J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps pour qu'tu reviennes Mais t'es parti, Sans pleurs et sans bruit, Sur un par terre de fleurs blanches à Chambéry. Sous l'amour que tu as semé Poussent «les fleurs de l'éternité», Les hommes s'en vont et viennent Sans vraies raisons mais toi, Tu n'es pas venu pour rien, Passant ton temps à chérir les autres, Aujourd'hui, on t'aime Toujours, par milliers [Le père de Grégory, parlé:] Faites le maximum pour sensibiliser et convaincre L'attention les gens bien portants Sur la nécessité du don de soi Sur le nombre incroyable de vies Que l'on pourrait sauver Si la conscience de chacun le permettait Je vais peut-être rejoindre une scène Où je chanterai au milieu des anges Dans ce cas, laissez-moi N'ayez plus de peine C'est drôle, je n'ai plus peur, c'est étrange Ah, si, pardon, j'oubliais Dites aussi à certains qui se sont trouvés drôles un jour Que mon nom d'était pas "Mucoviscidose" mais bien "Grégory Lemarchal" Je vous aime [Le père de Grégory, parlé:] Les fleurs de l'éternité