Dimitri Sonya, Vienne de DirdaEglise barbare sur la VolgaDans l'appartement pauvre et pas bien grandSe pressent leurs amis, leurs parentsBabouchka d'Ukraine sous son châle de laineA du mal à cacher sa peineLes icônes, les bougies, vodka, zakouskyLa mère y a passé la nuitTrinques au bonheurBois n'ai pas peurVerses des pleursCe ne sont que des larmes de bonheurEh ! le Tzigane jouer pour eux le temps d'aimerLe temps de vivre, de vivre à deux et pour l'éternitéUn fol espoir d'adolescence toujours aux portes de l'enfancePour croire encore au temps d'aimerLe père du marié un ancien de CriméeEst debout fier et médailléUn cousin de Kiev que le mariage blesseDit un poème avec tristesseTrinques au bonheurAllez bois n'ai pas peurVerses des pleursCe ne sont que des larmes de bonheurEh ! le Tzigane jouer pour eux le temps d'aimerLe temps de vivre, de vivre à deux et pour l'éternitéUn fol espoir d'adolescence toujours aux portes de l'enfancePour croire encore au temps d'aimer{Instrumental}"Alors la mariée m'a jeté sonbouquetEt dans le parfum sucrés des fleurs fanéesMoi aussi je me suis mise à croireA croire encore au temps d'aimer"Eh ! le Tzigane jouer pour moi le temps d'aimerLe temps de vivre, de vivre à deux et pour l'éternitéUn fol espoir d'adolescence toujours aux portes de l'enfancePour croire encore le temps d'aimerEh ! le Tzigane jouer pour moi le temps d'aimerLe temps de vivre, de vivre à deux et pour l'éternitéUn fol espoir d'adolescence toujours aux portes de l'enfancePour croire encore le temps d'aimer
Tenha acesso a benefícios exclusivos no App e no Site
Chega de anúncios
Badges exclusivas
Mais recursos no app do Afinador
Atendimento Prioritário
Aumente seu limite de lista
Ajude a produzir mais conteúdo