Des lèvres hésitantes
Caress(e)nt alors sa peau
Soudain comme la veille
Il la pénètr(e) charmé
De ses ongles vermeils
Léchant ses seins brûlés
Souille cett(e) catin !
Que ses bras fléchissent
Sous le joug du vin
Et du cuir, son fils
Alors des lambeaux déterrant
Du terreau de sa chair meurtrie
Happés ensuite par le vent
Auquel tous ces lieux sont soumis
Tous ces hurlements angoissants
Déchirent les draps de la nuit
Et tes misérables tympans
Qui perpétuent cette furie
Profane son corps!
Qu'il succombe entier
Suppliant la mort
Damnée suppliciée
Elle vomit le sang
Qui jadis l'a nourrie
Son nez ensorcelant
Et le pus en oublie
Et dévorant séante,
Ne laissent que des maux
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