Toi, on t'appelait Marilyn,
Toi, la femme-enfant, la frangine,
La petite soeur populaire
Qu'on aurait bien voulu se faire,
Toi, on t'appelait Marilyn
Dans nos rêveries enfantines
Et quand venait l'heure du dodo,
On s'endormait sur tes lolos...
Qui regretta Greta ?
Qui regretta Garbo
Qui avait le corps pâle,
Qui avait le coeur gros ?
Qui regretta Greta ?
Qui regretta Garbo
Que j'ai connue trop tard,
Qui est partie trop tôt ?
Toi, on te murmurait « Marlène »,
Toi, l'ange bleu de nos nuits blêmes,
Jarr'telles noires et bas nylon,
Tes cuisses nous filaient le frisson.
Toi, on te murmurait « Marlène »,
Toi, la femm'e-femme, la Gretchen,
Toi, l'équivoque Walkyrie
Qu'on chevauchait toutes les nuits...
On vous appelait « la Divine »
Quand vous jouiez la Reine Christine,
Mata Hari ou Ninotchka.
Même quand vous ne jouiez pas,
On vous appelait « la Divine »
Et je sentais dans ma poitrine
Ce mal si lourd, ce mal si beau :
Je crois que je t'aimais, Garbo.
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