Nos maîtres sont morts, et nous sommes seuls.
Notre génération n’est plus une génération, mais ce qui reste,
Le rebut et le coupon d’une génération qui promettait, hélas,
Plus qu’aucune autre.
Tout au monde est désaxé, tout.
Et nous, enfants gâtés nés pour le plaisir du soir,
La douceur des lampes, le crépuscule qui fond les contours,
Nous voici en pleine apocalypse.
Nous aimons tout ce qui finit et tout ce qui meurt.
Voilà pourquoi, sans doute, tous nos amis sont morts.
Notre faute est d’y survivre.
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